• Ballade pour l'oubli

     

     

     

    Il recommença sa lecture encore, encore et encore.
    C’était comme un chant désespéré, un aveu d’amour à mort,
    quelques larmes de sang perlant d’un cœur meurtri.

     

     

     

    « Les derviches tourneursAlerte sismique... »

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  • Commentaires

    1
    Samedi 10 Décembre 2011 à 22:04

    La distance n'est pas un frein, les freins sont dans notre esprit, notre manque de clairvoyance quand nous devons prendre une décision, celui qui hésite le plus et celui qui souhaite le moins la rencontre

    amicalement

    Claude

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