• Les mystérieux Cagots

     

    Nos programmes d'Histoire occultent le sujet des cagots.


    Les cagots furent un peuple d'intouchables, en France durant huit siècles, charpentiers  attitrés de l'Eglise, mais néanmoins tenus de porter une sorte de burka portant sur l'épaule, pour qu'on les voit de loin, un insigne représentant une patte d'oie rouge sur fond jaune, ne laissant voir ni leur visage, ni leur corps, ni leurs mains, ayant lors des offices religieux un emplacement à part dans l'église, emplacement auquel ils accédaient par une entrée latérale réservée, généralement basse. Ils usaient d'un bénitier extérieur qui leur était également réservé.  
    Dans certaines églises, un mur les séparait des autres fidèles et de la vue de l'autel.
    Ils étaient inhumés "hors la terre chrétienne ", souvent en dehors du cimetière et ne recevaient pas la communion.

     

    Tout contact physique avec les non cagots leur était interdit, et ils ne devaient pas toucher la nourriture destinée aux non cagots, ni boire l'eau des fontaines publiques, ni loger en ville, ni ailleurs que dans les hameaux qui leur étaient réservés. Ils ne relevaient pas de la justice domaniale, mais de la justice d'Eglise.
    Ils ne pouvaient faire aucun autre travail que celui de charpentier,  ce qui s'élargit plus tard à tous les métiers du bois, mais uniquement à ces métiers ci. Il fallait sept témoignages de cagots pour contrer un seul témoignage de chrétien ordinaire.

     

     Longtemps, ils n'eurent officiellement pas le droit de se marier ou de procréer, ce qui ne les empêcha pas de le faire. Ceci dit, on suppose qu'ils accueillirent les mères célibataires et leurs enfants, à l'époque rejetés, les enfants abandonnés et les brigands qui avaient intérêt à se cacher sous la burka pour ne pas être pendus, et ainsi diluèrent-ils leurs particularités.

     

    Les femmes cagotes avaient un énorme don de magnétisme ; parmi les personnes qui ont actuellement ce potentiel de magnétisme naturel, certaines ont du sang cagot sans le savoir.

    On disait que les cagots avaient les pieds et les mains palmées, et pas de pavillons ou pas de lobe d'oreille, ce qui n'est pas sans évoquer la description des extra terrestres du récit du capitulaire de Lyon de l'an 800, année du couronnement de Charlemagne.

     

    Au seizième siècle, lorsque le grand chirurgien du roi Henri III examina quelques cagots, son témoignage montre des particularités chez l'un des individus.

    Par la chaleur extrême se dégageant de son corps, cet homme tenant en main une pomme fraîche, la momifia aussitôt, et lors de la saignée, l'individu produisit un sang d'une couleur entre vert et bleu.

    Certes, sur les quelques individus étudiés par Ambroise Paré dont les méthodes étaient scientifiques, un seul individu avait ces particularités, mais on peut faire confiance au témoignage d'Ambroise Paré.

     

    An 800 et  852 : des extra-terrestres à Lyon !

    Ces témoignages font intervenir ce que nous nommons aujourd'hui les Objets Volants Non Identifiés (OVNI).

    Toutefois, échevins, chanoines, moines et évêques n'avaient pas pour habitude de consigner des faits sans avoir établi des vérifications ou avoir été témoins de ces faits.
    Le peuple admettait les phénomènes étranges, mais avait le souci de sa sauvegarde. Tout au plus, l'Eglise attribuait-elle au diable certaines manifestations étonnantes.

     

    An 800 : on extermine des extra-terrestres à Lyon !

    Les rédacteurs du capitulaire de Lyon sont dignes d'être écoutés.

    Ils relatent qu'en l'an 800, année du couronnement de Charlemagne, les habitants de Lyon virent de surprenants objets volants descendre du ciel.
    En ce temps, on était loin de connaître avions et vaisseaux spatiaux ; les seuls objets volants jamais vus étant les oiseaux ou les insectes.

    A la vue de ces Objets Volants Non Identifiés, les lyonnais franchirent l'enceinte, gagnant avec force cris les champs où venaient de se poser les vaisseaux.
    L'un des pilotes sortit de l'engin. Personne ne comprit ce qu'il disait.

    Sans autre forme de procès, on s'empara de ces êtres, on les cloua sur des planches qu'on jeta dans la Saône et dans le Rhône.

    Ainsi pensait on ne plus jamais revoir de ces étranges visiteurs qui, "venaient sur Terre pour abîmer les récoltes par le fracas de leurs terribles engins volants". (Citation)

    Des chroniqueurs médiévaux rapportent que peu après, apparurent en grand nombre en diverses régions d'Europe des êtres semblables à ceux mentionnés par le capitulaire de Lyon.

    D'abord persécutés, ils furent peu à peu tolérés jusqu'à vivre à côté des humains, relégués au rang de bannis.

    On les nomma cagots, agots, gahets ou gézitains, ou encore chrestians ou christians, d'après le mot "croix".

    Ces chroniqueurs médiévaux témoins des faits, les décrivent comme chauves (ou crânes rasés) pour la plupart, mais ceux qui avaient des cheveux étaient blonds, sans pavillon d'oreille visible -ne s'agit-il pas plutôt de lobe absent ou collé ?- dégageant une forte chaleur corporelle.

    On les contraignit à se couvrir des pieds à la tête et on leur imposa le signe à patte d'oie, et les contraintes que nous avons vues.

     

     

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