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    CO CO RI CO !!!!!

     

     

     

    Je plaisante... nous allons plutôt nous intéresser à ce délicieux breuvage qu'est le

     

     

    Coca-Cola est la marque la plus célèbre de l’histoire, et "Coca" est le deuxième mot le plus connu au monde après "bonjour".

    Cependant, la boisson en elle-même est un poison absolu pour le métabolisme humain. Niveau acidité, le Coca est très proche de celui de l’acide sulfurique et par conséquent il peut nettoyer des surfaces équivalentes et souvent mieux que de nombreux produits ménagers toxiques.

    Le Coca est moins cher et plus facile à acheter dans certains pays du tiers monde contrairement à l’accès à l’eau potable. Coca utilise la "propagande des relations publiques" pour convaincre les consommateurs et des nations entières qu’il s’agit d’une "société de l’environnement", alors qu’en réalité elle est liée à la pollution, aux pénuries d’eau, et à certaines maladies.
     

    Les personnes qui consomment des boissons gazeuses telles que le Coca augmentent de 48% le risque d’avoir une crise cardiaque et de faire un AVC, comparé aux personnes qui n’ont jamais bu de sodas ou seulement occasionnellement. Une étude publiée dans la revue Respirology révèle que la consommation de boissons gazeuses est également associée au cancer du poumon et aux troubles respiratoires comme l’asthme et la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC).
     

    La carbonatation du Coca entraîne une perte de calcium dans les os à cause d’un processus en 3 étapes :

    1. La carbonatation irrite l’estomac.

    2. L’estomac "soigne" l’irritation de la seule façon qu’il connaisse, Il ajoute de l’antiacide à sa disposition : le calcium. Il l’obtient à partir du sang.

    3. Le sang, alors faible en calcium, se réapprovisionne à partir des os. S’il ne le faisait pas, la fonction musculaire et cérébrale serait gravement compromise.
     

    Mais, l’histoire ne s’arrête pas là. Un autre problème avec la plupart des Coca est qu’elle contient également de l’acide phosphorique (pas le même que la carbonatation, qui est le dioxyde de carbone mélangé à l’eau). L’acide phosphorique ( E 338 ) ralentit le système immunitaire et puise dans le calcium.


    Donc le Coca ramollit vos os (en fait, il les affaiblit et les fragilise) de 3 façons :

    1. La carbonatation réduit le calcium dans les os.

    2. L’acide phosphorique réduit également le calcium dans les os.

    3. La boisson remplace une solution contenant du calcium, comme le lait ou l’eau. Le lait et l’eau ne sont pas d’excellentes sources de calcium, mais ils en sont quand même.

    Le cancer de l’œsophage était très rare il y a deux générations, aujourd’hui, il est très courant. Le mécanisme de base fonctionne de manière suivante :

    1. Les dommages mécaniques des cellules sont un énorme facteur de risque de cancer. C’est pourquoi les particules d’amiante, par exemple, provoquent le cancer du poumon.

    2. Toutes les boissons gazeuses causent le reflux gastrique (acide de l’estomac se levant à travers le clapet de l’œsophage). Celui-ci est plus prononcé lorsque le corps est à l’horizontal (comme dans le sommeil), mais la dose de Coca-Cola et de boissons gazeuses consommée aux États-Unis signifie que le reflux gastrique est bien supérieur à la limite recommandée. Chaque fois que vous buvez une boisson gazeuse, vous allez éructer et avoir de l’acide dans l’œsophage. De combien en trop ? La recherche ne dit pas où est la limite, elle montre seulement que nous sommes nombreux à l’avoir dépassée de beaucoup.

    3. L’acide gastrique dissout les tissus : c’est son but. La muqueuse de l’estomac ne pénètre pas dans l’œsophage, de sorte que le bas de l’ œsophage est endommagé par l’acide beaucoup plus fréquemment chez ceux qui consomment des boissons gazeuses que ceux qui n’en consomment pas. Il en résulte une augmentation radicale des mutations cellulaires, et aussi un niveau beaucoup plus élevé de radicaux libres.
     

     

     

    20 utilisations du quotidien avec du Coca :

    Le Coca agit comme un nettoyant acide.

    La quantité d’acide contenue dans le soda est suffisante pour enlever l’émail de vos dents, ce qui les rend plus sensibles aux caries. Dans les tests effectués sur les niveaux d’acidité des sodas, on a relevé que certains d’entre eux avaient des niveaux de PH très faibles (2,5).

    Pour mieux visualiser tout ça, prenons comme exemple l’acide sulfurique qui a un pH de 1 et de l’eau pure qui a un pH de 7.

    Pour prouver que Coca n’a pas sa place dans le corps humain, voici comment vous pouvez utiliser le Coca de 20 manières différentes en vous en servant comme nettoyant domestique :


    1. Enlève les taches de graisse sur les vêtements et les tissus
    2. Enlève la rouille, les méthodes incluent l’utilisation de tissu trempé dans le Coca, une éponge ou même une feuille d’aluminium. Desserre également les boulons rouillés.
    3. Enlève les taches de sang sur les vêtements et les tissus.
    4. Nettoie les taches d’huile sur un plancher de garage, laissez tremper la tache, puis lavez à grande eau.
    5. Tue les limaces et les escargots, l’acide les tue. (rassurant non ?)
    6. Nettoie les casseroles brûlées, laissez-le Coca tremper dans la casserole , puis rincez.
    7. Détartre une bouilloire (même méthode qu’avec les casseroles brûlées)
    8. Nettoie les bornes de la batterie de la voiture en versant une petite quantité de Coca sur chacun d’eux.
    9. Nettoie votre moteur; les distributeurs de Coca ont eu recours à cette technique pendant des décennies.
    10. Rend les pièces de monnaie brillantes; les tremper dans Coca, elles ne seront plus du tout ternes.
    11. Nettoie le coulis : versez du Coca sur le plancher de la cuisine, laissez agir quelques minutes, puis essuyez.
    12. Dissout une dent; Utilisez un récipient hermétique … cela prend un certain temps, mais ça fonctionne.
    13. Enlève le chewing-gum des cheveux; faire trempette dans un petit bol de Coca-Cola, laisser quelques minutes.
    14. Enlève les taches de porcelaine vitrifiée.
    15. Vous avez une piscine sale ? Ajoutez deux bouteilles de 2 litres de Coca, cela efface la rouille.
    16. Vous pouvez supprimer (ou faire disparaître) la couleur de vos cheveux en versant du Coca 0 dessus.
    17. Enlève les taches de marqueur sur la moquette et les tapis. Mettez du Coca, lavez et nettoyez à l’eau savonneuse.
    18. Nettoie les WC ; verser autour de la cuvette, laissez pendant un certain temps, rincez et c’est propre.
    19. Du Coca et une feuille d’aluminium apporteront du Chrome pour une haute brillance.
    20. Enlève les bandes de peinture sur les meubles en métal. Faire tremper une serviette dans le Coca et le poser sur la surface peinte.

    Maintenant, pouvez-vous imaginer ce qui est fait aux parois de votre estomac ?
     

    Vous-êtes-vous déjà demandé ce qu’était exactement le Coca-Cola ?

    Après 10 minutes : Le sucre contenu dans un verre de Cola peut causer une «grève» dévastatrice dans le corps. La cause étant l’acide phosphorique qui inhibe l’action du sucre.

    Après 20 minutes : Il y a un taux élevé d’insuline dans le sang. 

    Après 40 minutes : L’ingestion de caféine est enfin terminée. Les pupilles sont en expansion. La pression artérielle augmente parce que le foie dispose de plus de sucre dans le sang. Les récepteurs de l’adénosine sont bloqués empêchant ainsi la somnolence.

    Après 45 minutes : Le corps augmente la production de dopamine, qui stimule le centre du plaisir du cerveau. Similaire à la réaction de l’héroïne.

    Après 1 heure : L’acide phosphorique se mélange au calcium, au magnésium et au zinc dans le tractus gastro-intestinal, ce qui suralimente le métabolisme. Il y a alors libération de calcium par l’urine.
     

    Après plus d’1 heure : Les effets diurétiques de la boisson entrent "en jeu". Le calcium, le magnésium et le zinc sont éliminés hors du corps, qui sont une partie des os, ainsi que le sodium. A ce moment, nous pouvons devenir irritable. Toute l’eau, contenue dans un coca cola, est éliminée par l’urine.
     

    Lorsque l’on a une bouteille de Coca Cola fraîche et que l’on en profite, sommes-nous au courant du cocktail chimique que nous mettons dans notre corps ?

    L’ingrédient actif de Coca-Cola est l’acide ortho-phosphorique . En raison de sa forte acidité, les citernes utilisées pour le transport de ces produits chimiques doivent être équipés de réservoirs spéciaux conçus pour des matériaux très corrosifs.
     

    Ayons un regard sur "l’anatomie" de l’un des produits les plus mis en avant de "Coca-Cola Co." :

    ** Coca- Cola Light sans caféine **

    Cette boisson contient : Aqua gazéifiée, E150d , E952 , E951 , E338 , E330 , E211.
     

    Aqua gazéifiée - c’est l’eau pétillante. On remue la sécrétion gastrique, cela augmente l’acidité du suc gastrique et provoque des flatulences. On utilise principalement l’eau du robinet filtrée.
     

    E150d – il s’agit d’ un colorant alimentaire obtenu par le traitement du sucre, à des températures spécifiques, avec ou sans addition de réactifs chimiques. Dans le cas de Coca-Cola, on ajoute du sulfate d’ammonium.
     

    E952 – le sodium cyclamate est un substitut du sucre. Le cyclamate est un produit chimique synthétique, a un goût sucré, qui est 200 fois plus sucré que le sucre, et est utilisé comme édulcorant artificiel. En 1969, il a été interdit par la FDA, car celui-ci, ainsi que la saccharine et l’aspartame, ont provoqué un cancer chez les rats.
     

    E950 – l’acésulfame de potassium. 200 fois plus sucré que le sucre, contenant de la méthyl–éther. Elle aggrave le fonctionnement du système cardio-vasculaire. De même, elle contient de l’acide aspartique qui peut également avoir un effet excitant sur notre système nerveux et dans le temps, il peut mener à la dépendance. L’acésulfame est mal dissoute et déconseillée pour les enfants et les femmes enceintes.
     

    E951 – L’aspartame. Un substitut du sucre pour les diabétiques et qui est chimiquement instable à des températures élevées, il se décompose en méthanol et en phénylalanine. Le méthanol est très dangereux car seulement 5 à 10 ml peuvent entraîner la destruction du nerf optique et une cécité irréversible. Dans les boissons chaudes et douces, l’aspartame se transforme en formaldéhyde qui est un carcinogène très élevé.

    Les symptômes d’empoisonnement d’aspartame incluent : perte de conscience, maux de tête, fatigue, étourdissements, nausées, palpitations, prise de poids, irritabilité, anxiété, perte de mémoire, troubles de la vision, évanouissements, douleurs articulaires, dépression, infertilité, perte auditive…

    L’aspartame peut aussi provoquer les maladies suivantes : tumeurs cérébrales, sclérose en plaques, épilepsie, la maladie de Basedow, fatigue chronique, maladie d’Alzheimer, diabète, déficience mentale et tuberculose. A la base, cette substance était illégale en raison de ses dangers, mais elle a été de nouveau rendue légale de manière suspecte.
     

    E338 – L’acide ortho phosphorique. Cela peut causer une irritation de la peau et des yeux. Il est utilisé pour la production de sels d’acide phosphorique de l’ammoniaque, de sodium, de calcium, de l’aluminium et également dans la synthèse organique pour la production de charbon de bois et des bandes de films. Il est également utilisé dans la production de matériaux réfractaires, des céramiques, du verre, des engrais, des détergents synthétiques, la médecine, la métallurgie, ainsi que dans les industries du textile et du pétrole.

    Il est connu que l’acide ortho phosphorique empêche l’absorption du calcium et du fer dans l’organisme ce qui peut provoquer une fragilisation des os et l’ostéoporose. Il y a d’autres effets secondaires comme la soif et les éruptions cutanées.
     

    E330 – L’acide citrique. Il est largement utilisé dans les industries pharmaceutiques et alimentaires. Les sels d’acide citrique ( citrates ) sont utilisés dans l’industrie alimentaire en tant qu’ acides, conservateurs, stabilisants, et dans le domaine médical pour la conservation du sang.
     

    E211 - Le benzoate de sodium. Il est utilisé dans la production de certains produits alimentaires à des fins anti-bactériennes et anti-fongiques. On le trouve souvent dans les confitures, jus de fruits et les yaourts aux fruits. Il n’est pas recommandé pour les asthmatiques et les personnes qui sont sensibles à l’aspirine. Une étude menée par Peter Piper de l’Université de Sheffield en Grande-Bretagne, a constaté que ce composé provoquait des dommages importants de l’ADN. Selon Peter, le benzoate de sodium, qui est un composant actif dans les agents de conservation, ne détruit pas l’ADN, mais il le désactive. Cela peut conduire à une cirrhose et des maladies dégénératives telles que la maladie de Parkinson.
     

    Ainsi, le Coca-Cola est incontestablement un produit très utile. Mais un conseil, utilisez-le uniquement à des fins qui n’incluent pas sa consommation !

     

     


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    Le curcuma est une merveille de la nature dans le monde de guérison et a été utilisé comme un puissant anti-inflammatoire, antioxydant, antiseptique et anti-dépresseur depuis les temps anciens.

    Le composant principal dans le curcuma, la curcumine,  possède des propriétés anti-cancéreuses phénoménales et est connu pour contribuer à inhiber les cellules cancéreuses de la prostate, de la peau, du côlon, de la bouche, de l'oesophage, du poumon, de l'estomac, du pancréas, du foie et du sein.

    Le curcuma est aussi connu comme purificateur du sang et aide à apaiser les affections respiratoires, à améliorer la fonction hépatique, à soutenir le système circulatoire, à régulariser le cycle menstruel, à prévenir les maladies cognitives comme la maladie d'Alzheimer  et à guérir des troubles gastro-intestinaux .

    Le curcuma diminue de manière significative l'inflammation qui est attribuée à l'arthrite et d'autres maladies auto-immunes telles que le lupus, le syndrome du côlon irritable, la fibromyalgie, le syndrome de fatigue chronique.

    Le curcuma aide également le corps à digérer les protéines et les graisses et à réguler la glycémie pour les diabétiques.

    Ses propriétés anti-oxydantes ont des effets anti-vieillissement et ses propriétés antifongiques, anti- bactériennes, anti-microbiens  aident à la cicatrisation des plaies cutanées, des abrasions, ainsi que des irritations inflammatoires telles que le psoriasis et l'eczéma.

    Le curcuma est disponible sous forme de poudre, de capsules, de teinture, de thé, d'épices et de pommade.

    L'ajouter à votre régime alimentaire offrira des avantages à votre corps tout entier. C'est l'une des meilleures choses que vous pouvez faire pour la prévention, la réparation et la longévité.

     


    Complément d'infos - 28/03/14 :

    Poivre noir et curcuma : l'association complémentaire et indispensable.

    Selon les études les plus récentes, le poivre noir permet d’optimiser considérablement les effets du curcuma sur l’organisme.

    Particularités des poivres :

    Poivre vert : il est cueilli avant maturité et conservé dans une endroit humide.
    Poivre noir : cueilli à maturité, puis fermenté et séché.
    Poivre rouge : il est cueilli à pleine maturité.
    Poivre blanc : débarrassé de son enveloppe.

     

    Le poivre noir, côté santé :

    Son utilisation dans la cuisine devrait quasiment devenir systématique afin de limiter au maximum l’adjonction de sel dans les plats (exhausteur de goût).
     

    Le poivre est réputé pour être stomachique, c'est-à-dire qu’il favorise la digestion des graisses et des glucides. Il est désormais connu pour atténuer les flatulences causées par la consommation de légumes secs types haricots blancs ou rouges. Toutefois, il est à déconseiller pour des personnes ayant des ulcères digestifs (estomac ou intestins).
     

    Il est désormais reconnu que la pipérine qu’il contient permet d’améliorer sensiblement la disponibilité de certains autres composants alimentaires comme cela est le cas avec la curcumine du curcuma.

     

    Le curcuma côté cuisine :

    Encore nommé "safran des indes", le curcuma Longa est l’une des principales épices qui composent le curry.

    C’est lui qui donne sa couleur jaune orangée caractéristique. D’ailleurs en Chine on le nomme également gingembre jaune puisqu’il fait partie de la même famille que le gingembre commun, celui des Zingibéracées. Dans la cuisine indienne, il sert autant d’épice, de colorant naturel que de conservateur alimentaire puisqu’il permet de garder la saveur et la fraîcheur des plats cuisinés.
     

    En cuisine, il sera de préférence associé au poivre noir pour améliorer l’absorption de ses constituants, et en particulier de la curcumine. Et pour avoir la bonne quantité de curcumine, le mieux serait de faire chauffer une huile d’olive pression à froid et d’y dissoudre le curcuma durant deux minutes.

     

    Le curcuma côté santé :

    Traditionnellement en Asie, il est utilisé pour lutter contre la dyspepsie, c'est-à-dire pour limiter nausées, maux d’estomac de type ulcères, pertes d’appétit et sensations de pesanteur ressenties au niveau de l’estomac et de la vésicule biliaire après les repas copieux. On parle d’ailleurs d’effet cholagogue car il facilite l’évacuation de la bile, cette substance qui participe à la digestion des graisses. Ses propriétés antimicrobiennes en font également une épice de choix en cas de gastro-entérite.
     

    Contre les douleurs articulaires : l’activité anti-inflammatoire de la curcumine est visible aussi bien sur l’inflammation aiguë que chronique. Elle agit en inhibant une enzyme responsable de la synthèse des prostaglandines inflammatoires.

    Il est maintenant reconnu que la curcumine possède un effet anti-inflammatoire proche des AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens) agissant sur la douleur inflammatoire, les médiateurs de l’inflammation et sur les raideurs articulaires matinales, sans provoquer d’irritation au niveau digestif comme cela est souvent le cas avec les médicaments classiques. La prise de curcuma va donc permettre de réduire la fréquence et l’intensité des poussées arthrosiques sur le long terme, en limitant l’activation d’une protéine qui amorce l’inflammation et la destruction de l’articulation.
     

    Pour soulager le syndrome du colon irritable : ce syndrome, qui touche en particulier les femmes, pourrait être soulagé par la prise de curcuma pendant au minimum 8 semaines. Dans ce cas, engagez en parallèle une cure de probiotiques (ou de Bioferment Jean Hervé), à prendre à jeun le matin, pour réensemencer la flore intestinale.
     

    Pour venir en aide aux malades atteints d’Alzheimer : il pourrait être une des pistes à explorer dans le futur pour réduire le développement de cette maladie. En effet, cette épice prévient la formation et permettrait la destruction des macrophages, des dépôts de protéines bêta amyloïdes qui se forment dans les vaisseaux sanguins du cerveau des malades. De plus, le curcuma améliorerait les déficits cognitifs de ces patients et augmenterait de manière générale les performances intellectuelles.
     

    Comme adjuvant des traitements anticancéreux : la curcumine inhibe la croissance des cellules cancéreuses, elle augmente le processus de mort cellulaire programmée dans les tumeurs et diminue la prolifération des cellules malignes sans pour autant être toxique pour les autres cellules de l’organisme. De plus, elle augmenterait l’efficacité de certains médicaments anticancéreux, surtout ceux prescrits dans les cas de cancers du sein, et serait également protectrice vis-à-vis de certains autres cancers : gastro-intestinaux et colorectaux.

     

    Optimiser l’efficacité de la curcumine :

    D’autres substances améliorent sa disponibilité : la pipérine du poivre noir ou la bromélaïne de l’ananas.

    Egalement, la consommation de cette épice lors d’un repas contenant des graisses augmente son absorption : huiles végétales pression à froid ou poissons gras.

     

    Contre-indications

    Le curcuma agissant sur la vésicule biliaire, il est déconseillé aux personnes souffrant de calculs biliaires de le consommer à forte dose.

    Et en raison de son activité antiplaquettaire et anticoagulante, il faut éviter de le prendre sur le long terme en cas de traitement par des médicaments visant à fluidifier le sang (aspirine) afin d’éviter tout risque de saignement. 

    Voir site :  http://larbredevie.biocoop.net/actualites/369-Sante-Nutrition-poivre-noir-et-curcuma-l-association-complementaire#sthash.zrdWLwHL.dpuf

     

    Selon les études les plus récentes, le poivre noir permet d’optimiser considérablement les effets du curcuma sur l’organisme.

    Particularités des poivres:

    Poivre vert : il est cueilli avant maturité et conservé dans une endroit humide.
    Poivre noir : cueilli à maturité, puis fermenté et séché.
    Poivre rouge : il est cueilli à pleine maturité.
    Poivre blanc : débarrassé de son enveloppe.

    Le poivre noir, côté santé:

         Son utilisation dans la cuisine devrait quasiment devenir systématique afin de limiter au maximum l’adjonction de sel dans les plats (exhausteur de goût).
    Le poivre est réputé pour être stomachique, c'est-à-dire qu’il favorise la digestion des graisses et des glucides. Il est désormais connu pur atténuer les flatulences causées par la consommation de légumes secs types haricots blancs ou rouges. Toutefois, il est à déconseiller pour des personnes ayant des ulcères digestifs (estomacs ou intestins).
    Il est désormais reconnu que la pipérine qu’il contient permet d’améliorer sensiblement la disponibilité de certains autres composants alimentaires comme cela est le cas avec la curcumine du curcuma.

    Le curcuma côté cuisine:

         Encore nommé « safran des indes », le curcuma Longa est l’une des principales épices qui compose le curry. C’est lui qui donne sa couleur jaune orangée caractéristique. D’ailleurs en Chine on le nomme également gingembre jaune puisqu’il fait partie de la même famille que le gingembre commun, celui des Zingibéracées. Dans la cuisine indienne, il sert autant d’épice, de colorant naturel que de conservateur alimentaire puisqu’il permet de garder sa saveur et la fraîcheur des plats cuisinés.
    En cuisine, il sera de préférence associé au poivre noir pour améliorer l’absorption de ses constituants, et en particulier de la curcumine. Et, pour avoir la bonne quantité de curcumine, le mieux serait de faire chauffer une huile d’olive pression à froid et d’y dissoudre le curcuma durant deux minutes.

    Le curcuma côté santé

         Traditionnellement en Asie, il est utilisé pour lutter contre la dyspepsie, c'est-à-dire pour limiter nausées, maux d’estomac de type ulcères, pertes d’appétit et sensations de pesanteur ressenties au niveau de l’estomac et de la vésicule biliaire après les repas copieux. On parle d’ailleurs d’effet cholagogue car il facilite l’évacuation de la bile, cette substance qui participe à la digestion des graisses. Ses propriétés antimicrobiennes en font également une épice de choix en cas de gastro-entérite.
    Contre les douleurs articulaires : l’activité anti-inflammatoire de la curcumine est visible aussi bien sur l’inflammation aiguë que chronique. Elle agit en inhibant une enzyme responsable de la synthèse des prostaglandines inflammatoires.  Il est maintenant reconnu que la curcumine possède un effet anti-inflammatoire proche des AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens) agissant sur la douleur inflammatoire, les médiateurs de l’inflammation et sur les raideurs articulaires matinales, sans provoquer d’irritation au niveau digestif comme cela est souvent le cas avec les médicaments classiques. La prise de curcuma va donc permettre de réduire la fréquence et l’intensité des poussées arthrosiques sur le long terme, en limitant l’activation d’une protéine qui amorce l’inflammation et la destruction de l’articulation.
    Pour soulager le syndrome du colon irritable : ce syndrome, qui touche en particulier les femmes, pourrait être soulagé par la prise de curcuma pendant au minimum 8 semaines. Dans ce cas, engagez en  parallèle une cure de probiotiques (ou de Bioferment Jean Hervé), à prendre à jeun le matin, pour réensemencer la flore intestinale.
    Pour venir en aide aux malades atteints d’Alzheimer : il pourrait être une des pistes à explorer dans le futur pour réduire le développement de cette maladie. En effet, cette épice prévient la formation, et permettrait la destruction des macrophages, des dépôts de protéines bêta amyloïdes qui se forment dans les vaisseaux sanguins du cerveau des malades. De plus, le curcuma améliorerait les déficits cognitifs de ces patients et augmenterait de manière générale les performances intellectuelles.
    Comme adjuvant des traitements anticancéreux : la curcumine inhibe la croissance des cellules cancéreuses, elle augmente le processus de mort cellulaire programmée dans les tumeurs et diminue la prolifération des cellules malignes sans pour autant être toxique pour les autres cellules de l’organisme. De plus, elle augmenterait l’efficacité de certains médicaments anticancéreux, surtout ceux prescrits dans les cas de cancers du sein, et serait également protectrice vis-à-vis de certains autres cancers : gastro-intestinaux et colorectaux.

    Optimiser l’efficacité de la curcumine :

         D’autres substances améliorent sa disponibilité : la pipérine du poivre noir ou la bromélaïne de l’ananas. Egalement, la consommation de cette épice lors d’un repas contenant des graisses augmente son absorption : huiles végétales pression à froid ou poissons gras.

    Contre-indications

    Le curcuma agissant sur la vésicule biliaire, il est déconseillé aux personnes souffrant de calculs biliaires de le consommer à forte dose. Et, de par son activité antiplaquettaire et anticoagulante, il faut éviter de le prendre sur le long terme en cas de traitement par des médicaments visant à fluidifier le sang (aspirine) afin d’éviter tout risque de saignement. - See more at: http://larbredevie.biocoop.net/actualites/369-Sante-Nutrition-poivre-noir-et-curcuma-l-association-complementaire#sthash.zrdWLwHL.dpuf

     

    Selon les études les plus récentes, le poivre noir permet d’optimiser considérablement les effets du curcuma sur l’organisme.

    Particularités des poivres:

    Poivre vert : il est cueilli avant maturité et conservé dans une endroit humide.
    Poivre noir : cueilli à maturité, puis fermenté et séché.
    Poivre rouge : il est cueilli à pleine maturité.
    Poivre blanc : débarrassé de son enveloppe.

    Le poivre noir, côté santé:

         Son utilisation dans la cuisine devrait quasiment devenir systématique afin de limiter au maximum l’adjonction de sel dans les plats (exhausteur de goût).
    Le poivre est réputé pour être stomachique, c'est-à-dire qu’il favorise la digestion des graisses et des glucides. Il est désormais connu pur atténuer les flatulences causées par la consommation de légumes secs types haricots blancs ou rouges. Toutefois, il est à déconseiller pour des personnes ayant des ulcères digestifs (estomacs ou intestins).
    Il est désormais reconnu que la pipérine qu’il contient permet d’améliorer sensiblement la disponibilité de certains autres composants alimentaires comme cela est le cas avec la curcumine du curcuma.

    Le curcuma côté cuisine:

         Encore nommé « safran des indes », le curcuma Longa est l’une des principales épices qui compose le curry. C’est lui qui donne sa couleur jaune orangée caractéristique. D’ailleurs en Chine on le nomme également gingembre jaune puisqu’il fait partie de la même famille que le gingembre commun, celui des Zingibéracées. Dans la cuisine indienne, il sert autant d’épice, de colorant naturel que de conservateur alimentaire puisqu’il permet de garder sa saveur et la fraîcheur des plats cuisinés.
    En cuisine, il sera de préférence associé au poivre noir pour améliorer l’absorption de ses constituants, et en particulier de la curcumine. Et, pour avoir la bonne quantité de curcumine, le mieux serait de faire chauffer une huile d’olive pression à froid et d’y dissoudre le curcuma durant deux minutes.

    Le curcuma côté santé

         Traditionnellement en Asie, il est utilisé pour lutter contre la dyspepsie, c'est-à-dire pour limiter nausées, maux d’estomac de type ulcères, pertes d’appétit et sensations de pesanteur ressenties au niveau de l’estomac et de la vésicule biliaire après les repas copieux. On parle d’ailleurs d’effet cholagogue car il facilite l’évacuation de la bile, cette substance qui participe à la digestion des graisses. Ses propriétés antimicrobiennes en font également une épice de choix en cas de gastro-entérite.
    Contre les douleurs articulaires : l’activité anti-inflammatoire de la curcumine est visible aussi bien sur l’inflammation aiguë que chronique. Elle agit en inhibant une enzyme responsable de la synthèse des prostaglandines inflammatoires.  Il est maintenant reconnu que la curcumine possède un effet anti-inflammatoire proche des AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens) agissant sur la douleur inflammatoire, les médiateurs de l’inflammation et sur les raideurs articulaires matinales, sans provoquer d’irritation au niveau digestif comme cela est souvent le cas avec les médicaments classiques. La prise de curcuma va donc permettre de réduire la fréquence et l’intensité des poussées arthrosiques sur le long terme, en limitant l’activation d’une protéine qui amorce l’inflammation et la destruction de l’articulation.
    Pour soulager le syndrome du colon irritable : ce syndrome, qui touche en particulier les femmes, pourrait être soulagé par la prise de curcuma pendant au minimum 8 semaines. Dans ce cas, engagez en  parallèle une cure de probiotiques (ou de Bioferment Jean Hervé), à prendre à jeun le matin, pour réensemencer la flore intestinale.
    Pour venir en aide aux malades atteints d’Alzheimer : il pourrait être une des pistes à explorer dans le futur pour réduire le développement de cette maladie. En effet, cette épice prévient la formation, et permettrait la destruction des macrophages, des dépôts de protéines bêta amyloïdes qui se forment dans les vaisseaux sanguins du cerveau des malades. De plus, le curcuma améliorerait les déficits cognitifs de ces patients et augmenterait de manière générale les performances intellectuelles.
    Comme adjuvant des traitements anticancéreux : la curcumine inhibe la croissance des cellules cancéreuses, elle augmente le processus de mort cellulaire programmée dans les tumeurs et diminue la prolifération des cellules malignes sans pour autant être toxique pour les autres cellules de l’organisme. De plus, elle augmenterait l’efficacité de certains médicaments anticancéreux, surtout ceux prescrits dans les cas de cancers du sein, et serait également protectrice vis-à-vis de certains autres cancers : gastro-intestinaux et colorectaux.

    Optimiser l’efficacité de la curcumine :

         D’autres substances améliorent sa disponibilité : la pipérine du poivre noir ou la bromélaïne de l’ananas. Egalement, la consommation de cette épice lors d’un repas contenant des graisses augmente son absorption : huiles végétales pression à froid ou poissons gras.

    Contre-indications

    Le curcuma agissant sur la vésicule biliaire, il est déconseillé aux personnes souffrant de calculs biliaires de le consommer à forte dose. Et, de par son activité antiplaquettaire et anticoagulante, il faut éviter de le prendre sur le long terme en cas de traitement par des médicaments visant à fluidifier le sang (aspirine) afin d’éviter tout risque de saignement. - See more at: http://larbredevie.biocoop.net/actualites/369-Sante-Nutrition-poivre-noir-et-curcuma-l-association-complementaire#sthash.zrdWLwHL.dpuf

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    Boire trois litres d’eau par jour : les effets incroyables

     

    Souffrant de maux de tête et de problèmes de digestion, Sarah a décidé de suivre le conseil d’un neurologue et d’un nutritionniste : boire trois litres d’eau par jour pour aider son corps à mieux fonctionner.

    Comme elle le raconte sur le site du Dailymail, elle a tenté l’expérience durant quatre semaines. Les résultats ont dépassé toutes ses espérances.

    "En général, je commence ma journée en buvant une tasse de thé, puis je prends un verre d’eau avec mon repas de midi, et un autre le soir au dîner, ce qui correspond à peu près à un litre de liquide en 24h. Ça me semble beaucoup, mais apparemment c’est loin d’être assez" écrit Sarah.

    Elle publie une photo d’elle et commente : "J’ai 42 ans, mais j’ai l’air d’en avoir 52 à cause de ma déshydratation. J’ai des cernes autour de mes yeux, plein de rides et des plaques rouges. Ma peau a l’air morte." Il est temps d’y remédier !

    Trois litres d’eau, c’est un peu plus de cinq pintes et ça peut sembler énorme quand on n’a pas l’habitude de boire autant. Sarah a peur de bouleverser son corps en augmentant sa consommation d’eau aussi drastiquement. Elle consulte son médecin. Il la rassure en lui suggérant de boire un gros pichet d’eau le matin, un autre dans l’après-midi et un dernier le soir. Sarah en profite également pour boire beaucoup de thé.
     

    Dès la première semaine, elle remarque un changement. Déjà, elle doit aller au petit coin cinq à six fois par jour. Ensuite, ses migraines ont pratiquement disparu. Fan de yoga, Sarah se sent plus souple. Après 15 jours, elle trouve que sa peau est plus belle. Elle décide d’arrêter de boire du thé et du jus pour se contenter d’eau uniquement. Elle emporte avec elle des petites bouteilles un peu partout. Son ventre lui semble plus plat et elle a moins de cellulite.

    Les bénéfices s’accentuent encore lors de la troisième semaine. Les cernes et les rides de Sarah se sont effacés. Sa peau est plus élastique. Sarah se sent plus productive au boulot. Elle mange moins et perd du poids.

    A la fin de l’expérience, elle témoigne : "Je n’arrive pas à croire à quel point mon visage a changé. Je suis une autre femme. Je me sens plus en forme, plus légère et en meilleure santé. Mon mari et mes amis me disent que j’ai rajeuni de dix ans."

    Source : 7sur7.be

     


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