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    Bienvenue en Enfer : ici-bas, sur Terre !

    Le principe de la CHUTE traite de la descente ici-bas [dans l'OUBLI] des Âmes, Flammes Divines issues du Coeur Galactique, en ce système ARCHONTIQUE où Elles sont captives du piège infernal des incarnations répétitives, dont le Geôlier n'est autre que Saturne/Chronos : le TEMPS, aidé par les gardes-chiourmes ou mattons que sont rabbins, hauts-prélats, imams, etc...

    Et oui, les apparences sont effectivement trompeuses, et ce MONDE (anagramme de DEMON) est bel et bien l'Enfer !

    D'ailleurs, tout transparait clairement dans le codage du nom de la planète PLUTON (HADÈS) et de ses satellites : Kerberos = Cerbère, Styx (le fleuve infernal), Charon (le Passeur), Nix (la Nuit Ténébreuse), etc...

    De grands Initiés au Secret, tel le peintre Alessandro Filipepi (Philippe Pi) mieux connu de nous du (faux) nom Sandro Botticelli, ne se gênèrent pas pour le divulguer...

    De notre ami Olivier V Luthereau : "Aujourd'hui, j'ai écrasé un chat qui s'est jeté sous mes roues et qui a fini agonisant dans mes bras pendant que je hurlais dans la rue toutes les larmes de mon corps. Comme le hasard fait aussi parfois mal les choses quand il aime s'amuser à cela, le chat en question avait la même texture, couleur et longueur de poils qu'un autre petit que j'ai trouvé affamé et mourant, sauvé puis adopté l'an dernier [histoire de bien signifier qu'un jour tu en sauves un et que le lendemain tu en tues un autre, c'est le monde merveilleux où au Yang divin originel constitutif s'ajoute la part équivalente de Yin, question d'équilibre à préserver, on n'y échappe pas]. Et évidemment, j'ai croisé deux 666 sur la route dans les heures qui ont suivi, sinon, si ça n'est pas signé, ça n'est pas drôle.

    Le prochain newâgeux qui vient me voir à me dire que l'existence sur Terre Gaïa Pacha Mama est un miracle, que tout est parfait et à sa place, que la vie ici-bas dans ce putain de foutu monde de matière et de mort de merde est belle et merveilleuse, et divine et blablabla, et mon cul sur la commode de tout ce putain de verbiage jargon rose bonbon foireux et mensonger, qui permet de ne pas regarder en face l'enfer voilé et maquillé dans lequel on vit, je crois que je lui fais bouffer sur place son putain de manuel de méditation transcendantale.

    Oui je sais, je parle mal et je ne vibre pas papillon, et j'emmerde souverainement l'idéologie de l'apologie permanente et quasi dictatoriale de la vibration papillon en toute circonstance. Les gens qui ne savent pas pleurer et crier sont des gens qui ne savent pas aimer ; aimer, c'est à dire, aussi, compatir et porter la croix du monde. Où étaient-elles, la perfection, la beauté et l'harmonie, dans le regard en détresse puis vitreux de ce chat aux abois dont le sang consécutif aux hémorragies internes engendrées par l'accident lui coulait par la bouche et les narines ? Qu'est-il donc arrivé au cœur de ceux qui peuvent insulter la beauté et l'harmonie au point de les associer à ces réalités-là, comme un prétendu mélomane irait associer à la justesse de la partition un violoniste dont la main déraperait et jouerait la note la plus dissonante qui soit en plein Requiem de Mozart ?

    Tenez-vous le pour dit (et ceci n'est que l'expression de ma vision des choses, mais j'en fais, en ce jour, une profession de foi) : l'existence ici bas n'est pas qu'un miracle, c'est aussi et tout autant un calvaire et une malédiction pour qui sait la regarder en face et pour ce qu'elle est ; à savoir une guerre permanente de la vie contre elle-même.

    Permanente. A tous les niveaux, à toutes les échelles et sous toutes les formes de la vie.

    L'énergie de la vie ici-bas, prisonnière de la matière, et qui, dans sa nature originelle, est amour pur, passe son temps à se faire la guerre à elle-même et à s'auto-dévorer. On passe son temps à détruire pour exister, à devoir renoncer à exister si l'on entend cesser de détruire.

    Ce monde de matière est une malédiction et une prison, un attrape-couillon, une arnaque qu'on s'est faite refiler et dans laquelle on est allé foncer tête baissée comme des gros benêts arrogants, à l'image de ces enfants dans Pinocchio qui se font engraisser par des malveillants avec des bonbons qui les transforment en ânes et en esclaves. Et maintenant, il faut assumer et trouver le moyen d'en sortir, de toute cette merde, et certainement pas d'aller en faire l'apologie en se racontant une petite histoire rassurante pour se dire que c'est génial et merveilleux.

    Et aujourd'hui, après avoir signé le contrat [le pacte] avec le promoteur immobilier démoniaque de ce sinistre taudis foireux, que l'on nous a vendu comme un manoir somptueux et une affaire à ne surtout pas laisser passer sur des photos retouchées sous Photoshop, en ayant omis de nous préciser que la demeure prend l'eau et que ses murs sont rongés par la vermine, on est là à exister au beau milieu de tout cela, à être prisonniers dans cette putain de matière de merde, à venir y souffrir et y faire souffrir, à être obligés d'y tuer pour exister, à ne pas pouvoir faire autrement que de vivre aux dépens et sur le dos des autres sous peine de cesser de vivre soi-même...

    Et à essayer, pour les mieux intentionnés d'entre nous, de limiter les dégâts autant que faire se peut, dans l'abnégation et le renoncement aux petits plaisirs de l'égoïsme jouisseur que l'on porte tous en nous, sans jamais parvenir pour autant à annihiler purement et simplement les dégâts et à vivre sans faire mourir... Essayez donc d'inspirer de l'air dans vos poumons sans faire de génocide bactérien, juste pour voir, essayez donc de marcher dans une prairie, d'aller attraper la pomme que vous tend l'arbre sans engendrer le martyre des herbes et des insectes écrasés au passage, juste pour voir ; essayez donc, aussi pure que soit votre hygiène de vie, d'uriner sans polluer la terre ou l'eau dans lesquelles vous le faites, juste pour voir...

    Mais ce ne sont que des insectes et bactéries, ça n'a donc pas d'importance. Et au regard de la planète qui, selon toute probabilité est vivante, que croyez-vous que nous soyons, si ce n'est des insectes ?

    Et au regard du cosmos qui, selon toute probabilité est vivant, que croyez-vous que nous soyons, si ce n'est de vulgaires bactéries ?

    Essayez donc d'exister dans ce monde-ci, sans faire souffrir, cela vous sera impossible, même avec la meilleure volonté du monde. Et cela n'est pas divin. Et cela n'a rien de divin. Et cela est fondamentalement et incontournablement opposé au divin, dans une compréhension juste de ce que "Dieu est Amour" signifie. Fondamentalement opposé et incompatible.

    Selon toute probabilité [parce que de toute évidence pour qui l'aborde par l'intuition, et en toute logique pour qui l'aborde par la pensée rationnelle], tout ce qu'il y a de beau, d'harmonieux, de touchant dans ce monde existe dans d'autres mondes non-matériels [non soumis à la densité des énergies Yin et constitués de pur yang solaire et de lumière] en infiniment, infiniment plus beau encore, plus grand, plus flamboyant et plus pur, et que la beauté qui nous émeut ici-bas !

    Parce que cette beauté est prisonnière de ces énergies de densité et de laideur qui l'obstruent, la contaminent, l'oppressent, l'altèrent et l'empêchent de se déployer pleinement comme des poids empêcheraient de déployer fluidement et pleinement des ailes, elle n'est qu'un pâle reflet de ce qu'elle est originellement dans les mondes non souillés et non soumis à la chute.

    Ce qui EST l'apanage de cet univers-ci, ça n'est pas la beauté, mais sa déliquescence et sa décomposition. C'est bel et bien la mortalité, la corruption et la destruction perpétuelle de cette beauté qui voit les créateurs de ce monde se nourrir en permanence énergétiquement de cette souffrance et détérioration permanente de la vie incarnée ; ces créateurs dont nous sommes le bétail qui retourne se faire tondre incarnation après incarnation.

    Aujourd'hui plus que jamais, j'affirme sans détour et sans ambages cette conviction : pour être heureux et bien dans ce monde de matière, dans ce putain de Yin de merde qui partage au Yang solaire son empire dans un équilibre visiblement imperturbable, il faut s'en masquer la moitié des réalités, refuser d'en regarder en face la moitié de la vérité et d'en prendre la véritable mesure dans ce qu'elle dit de la nature véritable de cet univers-ci.

    Être heureux ici-bas, c'est nécessairement, NECESSAIREMENT ne pas avoir poussé le principe d'amour suffisamment loin et ne pas avoir suffisamment ouvert son cœur, non pas à tout ce qui nous ressemble, mais à tout ce qui vit et qui nous entoure dont le sacrifice perpétuel est la condition NECESSAIRE et PERMANENTE au bien-être de ce qui nous ressemble.

    Pour être heureux ici-bas, il faut n'avoir poussé suffisamment loin les étendues du royaume intime du cœur.

    Pour être heureux ici-bas, il faut faire le choix d'imposer des limites à sa clairvoyance et à son amour, au-delà d'une certaine distance de nous-mêmes, c'est à dire de continuer à vivre dans un référentiel dont nous sommes le centre et dont le sacrifié par tout ce que nous faisons passe au second plan.

    Autrement dit, il faut vivre dans l'ego.

    Heureux ceux qui suffoquent dans l'air vicié et l'atmosphère pestilentielle, même si, ici-bas, ils sont porteurs d'une tristesse infinie. Ceux-là seuls peuvent prétendre avoir des poumons encore à peu près sains et pas trop rongés par les corruptions ambiantes et les acclimatations spirituelles au poison. Et ceux-là seuls sont ceux qui toussent.

    Heureux les assoiffés de justice disait le Christ ; et il désignait ainsi des gens qui ont soif, qui crèvent de soif, pas des rassasiés dans une imperturbable position de lotus. Les portes du Ciel seront prises par les violents disait le Christ, et il désignait ainsi que les candidats à la sortie de ce cycle infernal des réincarnations perpétuelles pour une réintégration des royaumes divins [donc purement yang], étaient non pas ceux qui y évoluaient en lotus imperturbable, mais ceux dont le contact avec ce monde engendrait en eux une violence ; celle du cœur qui se dresse contre l'empire du Mal, précisément, et qui refuse de s'y taire et d'y abdiquer la lutte.

    Mon royaume n'est pas de ce monde disait le Christ ; parce que ce monde, dans ses attributions naturelles et fondatrices d’incontournable équilibre de yin et de yang, parce qu'il est celui de l'expérience du Bien et du Mal, ne peut être celui de la pure existence et du pur accomplissement du Bien, c'est à dire celui où l'enseignement d'amour universel et d'abolition des inégalités, tyrannies et oppressions entre les êtres du Christ est roi et fait office de loi.

    Choisissez le confort ou la vérité ; le confort au prix du sacrifice de la vérité ou la vérité au prix du renoncement au confort. Ici-bas nous n'aurez pas les deux.

    J'emmerde et je vomis la laideur de ce monde de matière de merde, son mode de fonctionnement, son putain de sinistre foutu équilibre de yin et de yang de merde, cette putain de malédiction qui nous voit ne pas pouvoir faire exister de lumière, sans déclencher le processus d'existence d'une part équivalente d'ombre. Et je bénis le jour où la rédemption d'un retour en Grâce me verra en être délivré.

    Et j'emmerde les prétendues sagesses et spiritualités qui nous apprennent à être en paix avec une guerre perpétuelle et sans relâche pour l'existence par sacrifice de l'autre, contre laquelle l'éthique d'un cœur compatissant opposé à l'égoïsme jouisseur nous commande d'être en guerre perpétuelle et sans relâche en retour.

    Amen.

     



    Réaction de Cyrille Guyvarc'h :

    "Alors là, je m'incline. Tout est dit ! Je pourrai même quitter Facebook dès maintenant en laissant cette publication en tête de liste, avec celle partagée hier sur les "flyers". Tout est là ! Tant que tout ceci n'aura pas été intégré par le collectif humain, notre monde restera ce qu'il est.

    NON, la vie n'est pas belle. Elle devrait l'être.

    NON, la Lumière n'est pas partout. Elle existe en tant que potentiel mais bien loin d'être manifestée...
    Et ce n'est pas en prétendant que la vie est belle et que la lumière est partout dans un monde si abominable que le nôtre que cela va se produire.

    Je parle souvent des adeptes du new âge pour qui "l'amour est partout" [et n'hésitent pas bien souvent à vous poignarder dans le dos malgré tout mais bon, c'est une autre affaire...]

    Pour introduire sommairement ce magistral coup de gueule d'Olivier V Luthereau, il me revient cet événement en mémoire...

    Un jour, je rends visite à un parent proche. Et je ne sais plus ce qui m'a poussé à parler de ma perception de ce monde. Bref. Le parent en question n'a pas aimé et m'a répondu : "Tu vois tout en noir. Regarde, la nature, elle n'est pas belle ?! Moi il me suffit de voir mon petit rouge-gorge dans le jardin pour m'émerveiller".
    Et moi de lui répondre : "Ouais, tu devrais demander l'avis au ver de terre que ton rouge-gorge va bouffer. Je suis certain qu'il le trouve moins sympathique que toi".
    Ca n'a pas plu...
    J'aime la Vie et je m'inquiète de cette prédation qui parasite la Nature. C'est un sujet beaucoup plus important qu'il n'y parait de prime abord (voir ma publication sur les "flyers" et l'article de Patrick Bellemare)  -LIEN PAGE-

    Notre problème, enfin, le problème de bien des gens est cette grande difficulté à changer d'angle de vue, à observer un événement, une situation de façon OBJECTIVE, en faisant abstraction de l'émotionnel.

    Pour l'heure, la Nature est à l'image du collectif humain : prédatrice !

    S'agissant des dimensions plus proches de la Source, les vrais médiums dépeignent souvent une Nature et des êtres rayonnants.

    Le RAYONNEMENT, voilà ce que nous devons atteindre.

     

    Non plus prendre, vampiriser mais RAYONNER.

    RAYONNONS BORDEL !

     

     

     


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        Omraam Mikhaël Aïvanhov

     

    Quand un homme est mort, il n’est plus dans les lieux qu’il a habités, ni dans les objets qu’il a laissés ; il n’est même pas dans la tombe où l’on a placé son corps. Bien sûr, il est normal de vouloir conserver en souvenir quelques objets qui lui ont appartenu, d’aller se recueillir dans sa demeure ou sur sa tombe au cimetière. Mais il faut aussi savoir que lui, son esprit, n’est plus là. En voulant qu’il soit là, en s’accrochant à ce qui peut rester de lui, on le retient, on le limite, on le martyrise même.

    Au moment où un homme meurt, les portes de la terre se referment derrière lui, il se trouve pris dans un autre courant et il n’a pas le droit de retourner en arrière ; C’est pourquoi il ne faut pas s’accrocher aux morts en accompagnant leur départ avec des regrets, des pleurs, des lamentations ; Les regrets et les chagrins des vivants qu’ils ont laissés sur la terre sont un tournent pour les morts, tant qu’ils n’ont pas franchi les régions des plans astral et mental. Ce n’est qu’au moment où il s entrent dans le plan causal que plus rien ne peut les troubler ; ils sont comme au centre d’un cercle magique de lumière et aucun appel des vivants, aucune sollicitation ne peut franchir ce cercle s’ils ne le veulent pas. Il faut donc prier pour les morts, il faut leur envoyer de la lumière pour qu’ils trouvent la paix, qu’ils se libèrent, mais il ne faut pas s’accrocher à eux ni surtout chercher à les ramener vers la terre. […]

    La plupart des humains qui quittent la terre ne coupent pas immédiatement leurs attaches ; ils restent liés à des parents, des amis (ou des ennemis), des lieux qu’ils ont habités, des possessions, et s’ils n’ont jamais eu dans leur cœur, dans leur âme, le désir de découvrir d’autres réalités, ils tournent interminablement autour de ces êtres, de ces maisons, de ces objets. Ce sont des âmes errantes qui souffrent et, bien que des esprits lumineux viennent les aider, elles ne peuvent pas encore se dégager. Tandis que ceux qui ont nourri pendant leur vie un grand idéal spirituel quittent très rapidement leur corps et s’envolent vers les régions sublimes où ils nagent dans la lumière et dans la joie. De là, ils peuvent envoyer des bénédictions à tous ceux qu’ils ont laissés en bas, pour les aider, les protéger. Mais ils ne reviennent jamais les visiter comme beaucoup se l’imaginent ; du moment qu’ils sont morts, ils sont très loin de la terre et ils ne redescendent pas.

    Vous direz : « Mais alors, comment se fait-il que les spirites croient entrer en communication avec certains personnages illustres du passé ? » Non, en réalité, ce n’est pas avec eux qu’ils communiquent, mais voici ce qui se passe. Quand l’être humain se dégage pour partir dans l’autre monde, il laisse certains de ses vêtements. Bien sûr, je ne parle pas de vêtements physiques, mais d’enveloppes éthériques, astrales, mentales, qui flottent dans l’atmosphère et qui sont imprégnées de tout ce que cet être a vécu, senti, pensé. Ce sont comme des coquilles vides abandonnées par leurs occupants et elles peuvent être animées, vivifiées par les fluides des personnes réunies dans les séances spirites pour évoquer les morts. Mais comme en général ces personnes ne sont pas tellement évoluées, les fluides qui émanent d’elles sont imprégnés de passions, de sensualité, de convoitises, et ils attirent de l’invisible toutes sortes d’existences flottantes qui n’ont pas encore été absorbées par le centre de la terre.

    L’espace psychique qui entoure la terre est naturellement débarrassé des entités inférieures qui l’encombrent ; au fur et à mesure elles sont refoulées et absorbées dans les profondeurs souterraines. Cependant, il en reste toujours quelques-unes, et ce sont ces créatures, qu’on appelle des larves, des élémentaux, qui apparaissent souvent dans les séances spirituelles. Ces indésirables ne peuvent évidemment que tromper et égarer ceux qui les interrogent, et non seulement elles les égarent, mais elles les épuisent parce que, pour rester un peu plus longtemps actives, elles absorbent leur vitalité.

    Entrer dans la tête d’un médium et vous parler au nom de qui vous voulez : Moïse, Jésus, Jeanne d’Arc… est à la portée de l’entité la plus inférieure ; cela ne prouve donc rien. Et en tout cas, ce n’est pas un ramassis de personnes frivoles, curieuses, sensuelles, comme on en trouve tant dans les réunions spirites, qui vont attirer des esprits évolués. Tout ce qu’elles peuvent attirer, ces personnes, c’st la racaille qui peuple l’astral inférieur, des larves, des ombres…

    Par contre, si des êtres purs, lumineux, désintéressés, se réunissent pour prier et entrer en contact avec le monde divin, des entités vraiment lumineuses peuvent se manifester parmi eux ; Mais leurs manifestations n’ont rien de commun avec celles des entités évoquées dans les séances spirites, elles ne font aucun bruit, elles ne produisent pas d’effets spectaculaires, elles remplissent seulement les âmes de lumière, de paix et d’inspiration. Dans le monde psychique existent aussi des êtres créés par l’imagination des humains : certains personnages de la littérature romanesque et théâtrale, ou même des saints dont la vie a été entièrement inventée, ont tellement occupé les pensées et les sentiments des lecteurs et des croyants qu’ils ont fini par avoir une réalité ; non pas une réalité physique évidemment, mais fluidique ; elles existent ; et puisqu’ils existent, ils agissent, ils exercent une influence sur les mentalités.

    Les entités appelées « égrégores » ont la même origine. Une égrégore est une entité collective créée par la pensée de tous les individus appartenant à un groupe, un peuple, une religion… Leurs pensées, leurs désirs qui sont tous orientés dans la même direction forment une égrégore ; une entité imprégnée, nourrie, façonnée par cette collectivité. Toutes les Eglises, tous les mouvements spiritualistes ont leur égrégore, de même que tous les mouvements politiques, et évidemment dans l’invisible il arrive que ces égrégores s’opposent et se combattent ; chaque égrégore aide la communauté qui l’a créée, car elle est un réservoir de forces formidables. Elle possède une forme symbolique, souvent celle d’un animal : ours, tigre, coq, aigle, colombe etc..

    Les humains feront un grand progrès le jour où ils comprendront comment ils peuvent former une égrégore puissante qui travaillera à aider et éclairer toutes les créatures dans le monde.

    Le plan astral est donc habité par des créatures de toutes sortes dont la plupart des gens n’ont aucune idée. Mais qu’ils les connaissent ou non, ils attirent celles avec lesquelles ils entrent en relation par la loi de l’affinité. Voilà comment, dans les séances spirites, les participants attirent des présences de l’océan astral, mais ces présences sont rarement celles des morts qu’ils veulent rencontrer. Si vous croyez qu’il suffit qu’un médium demande : «Esprit, es-tu là ? » pour que vous rencontriez réellement celui que vous cherchez. Rien n’est moins sûr et les entités qui répondent à vos questions à travers des médiums sont souvent des larves du plan astral qui savent très bien comment tromper les humains. L’être que vous cherchez, Dieu seul sait où il se trouve. […]

    Il est des cas où certains esprits sont forcés de quitter leur région pour répondre à l’appel de magiciens très puissants : ceux-ci les contraignent à descendre en se servant de formules magiques dont ils connaissent le secret. Mais ce n’est pas normal, ce n’est pas naturel, c’est à l’homme de s’élever par la pensée pour rencontrer les esprits dans la région où ils se trouvent. Les morts, eux, ne doivent pas avoir à redescendre sur la terre. Il existe donc deux manières d’entrer en relation avec les morts ; s’élever par la pesée jusqu’aux êtres supérieurs dont on veut obtenir des bénédictions, ce qui s’appelle une invocation ; et tenter de faire revenir les âmes des morts pour qu’ils se manifestent, ce qui s’appelle une évocation. Mais, en général, je le répète, on ne réussit pas à obtenir la présence réelle de ces esprits qu’on a voulu évoquer ; ce sont d’autres créatures qui prennent leur forme ou leur voix parce qu’elles ont intérêt à tromper les humains.

    Il en est du monde invisible comme du monde visible ; on y trouve des créatures extrêmement évoluées, des entités lumineuses, pures et véridiques et d’autres, au contraire, qui se plaisent à tromper les humains, à se moquer d’eux et à leur faire du mal. Alors, soyez prudents, car ce sont souvent ces dernières qui se présentent lors des séances de spiritisme ou de tables tournantes. Vous êtes étonnés ?

    Mais comment pouvez-vous imaginer que les plus hautes entités vont répondre à l’appel du premier venu qui se prétend médium et qu’elles vont se déranger pour satisfaire votre curiosité et vos besoins ? La nature des messages reçus et leur véracité dépendent de votre degré d’évolution, ainsi que de celui du médium. Ce sont les humains qui, par la qualité de leur vie intérieure, attirent telle ou telle entité.

    Beaucoup d’entre vous se demandent : « Mais pourquoi le Ciel permet-il aux forces invisibles de tromper les humains ? » Oh, vous savez, il permet beaucoup de choses, le Ciel. Tout est permis dans les marécages ou au fond des océans. C’est à nous d’être vigilants et de ne pas aller nous aventurer de ce côté-là. Celui qui veut entrer en contact personnellement ou par l’intermédiaire d’un médium avec les esprits du monde invisible doit développer son discernement, afin de connaître la nature des esprits (ou ce que l’on appelle « esprits ») qui se manifestent, et ne pas tout accepter aveuglément. Dans les messages de l’au-delà, le vrai et le faux peuvent se mélanger et il faut donc être capable de faire le tri.

    Mais les humains vont s’aventurer dans le monde invisible sans savoir réellement ce qu’il et ni de quelles créatures il est peuplé. Ceux qui sont capables de plonger leur regard dans ce monde mystérieux de Iésod sont très peu nombreux ; oui, il y a très peu de véritables clairvoyants, très peu de véritables médiums, et celui qui veut entrer en relation avec les esprits doit connaître les risques qu’il court. Il peut recevoir des réponses exactes, mais là encore il arrive que, si ça tombe juste, ce soit seulement l’effet du hasard.

    Il faut donc être très prudent. Moi,  je n’ai jamais conseillé de participer à des séances spirituelles, jamais. Au contraire ; Quand j’étais jeune,  j’ai été invité à assister à quelques-unes, mais j’ai très vitre compris que les gens qui sont là pataugent dans les régions inférieures de la conscience. Alors, tandis qu’ils croient communiquer avec leurs parents ou leurs amis, ils attirent des créatures de l’astral inférieur dont ils n’arriveront plus à se débarrasser, parce qu’elles essaieront de satisfaire leurs besoins malsains à travers eux. C’est pourquoi beaucoup de spirites ont très mal fini.

    Alors, laissez les morts partir tranquilles là où ils doivent aller. Vos parents, vos amis, ne vous accrochez pas à eux, ne les retenez pas par vos chagrins et vos regrets, et ne cherchez surtout pas à les rappeler pour communiquer avec eux ; vous les importunez et vous les empêchez de se libérer ; Priez pour eux, envoyez-leur votre amour, pensez a qu’ils se libèrent et s’élèvent de plus en plus dans la lumière. Si vous les aimez vraiment, sachez que vous serez un jour avec eux. C’est la vérité ; Combien de fois je vous l’ai dit : là où est votre amour, c’est là que vous serez aussi un jour.

    En attendant, il existe des méthodes plus sûres et moins dangereuses pour retrouver un être que vous aimez. Si cet être possédait de grandes qualités spirituelles, il est maintenant dans un lieu de paix, de lumière, de beauté et, pour le rencontrer, voici le seul moyen infaillible : faites l’effort de cultiver les mêmes qualités que vous sentiez en lui de son vivant. Evidemment, c’est plus difficile que de demander à un médium d’évoquer son esprit ou d’aller au cimetière et de regarder une photo en nourrissant dans votre tête  toutes sortes de fantasmagories. Mais si vous voulez vraiment retrouver cet être, vous n’avez pas d’autre solution, cette rencontre ne peut se faire que par la loi de l’affinité. En développant les mêmes qualités que lui, vous retrouverez son esprit.

    Source :  http://herosdelaterre.blogspot.ca/


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